L’IA continuera d’exercer son influence en 2024 et dans les années à venir. Pour les responsables de l’IBM i, l’intégration concrète de l’IA apportera son lot de problèmes, de fonctionnalités, d’opinions et d’expérimentations. Elle ouvrira la voie à l’évolution de nos stratégies, et peut-être même à la création d’un ensemble d’approches complètement nouvelles.
Pensez à la préparation d’une pizza : il existe toutes sortes de recettes pour faire de bonnes pizzas, on sait quelles garnitures se marient bien et on connaît la quantité d’assaisonnement nécessaire. Par contre, quand un nouvel ingrédient révolutionnaire fait son apparition, toutes les recettes doivent être réévaluées : cet ingrédient a-t-il le potentiel de les améliorer? Peut-il servir à inventer une nouvelle recette? L’IA est ce nouvel ingrédient, et il importe de s’y attarder. Il est encore trop tôt pour prédire les recettes qui en émaneront, mais les grands modèles de langage ont introduit une fonctionnalité que nous devrons prendre en compte dans nos futures « pizzas ».
Anticiper les effets de l’IA sur les projets IBM i
Si les effets de l’IA sur les projets IBM i sont appelés à varier considérablement selon la nature du projet, certains seront beaucoup plus courants que d’autres. Premier constat (qui semble relever de l’évidence) : en refusant d’essayer les grands modèles de langage, on s’empêche d’en tirer quelque avantage que ce soit. Le personnel technique fait preuve d’un scepticisme étonnant à l’égard de la proposition de valeur de ces modèles. Cela s’explique par... Lire l’article complet dans IT Jungle